Oeuvres de Rufus d'Ephèse : texte collationné sur les manuscrits, traduit pour la première fois en français, avec une introduction / publication commencée par Ch. Daremberg, continuée et terminée par Ch. Emile Ruelle.
- Date:
- 1879
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Credit: Oeuvres de Rufus d'Ephèse : texte collationné sur les manuscrits, traduit pour la première fois en français, avec une introduction / publication commencée par Ch. Daremberg, continuée et terminée par Ch. Emile Ruelle. Source: Wellcome Collection.
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![: Ms. 159 V®. Matth. 122-123-124. I 123 jui7'[p<]a TOL» Tvv \pu^porépav xv(tJiv \iOovs Tpé(p£iv To\iavTa êaliv’ sUoS fJLW Kcà ÙTtO B-eppiOV TtVOS ^rjpCLvSnVOLl 'SfOTS VTTOCrldOptYJV év xvalei, Scrvrep xoà oïvov Tpvyoty xcà dXXrjv Tivà iXi/v e^co' dXXot êy&) TSxpLripia, ovk syco sItts'Ïv TfjsSe tïj$ voa-ov, et p.r) dpct tÎjv ypotàv 7 Tûjv zswpi^iwv ' sïxoLcrIai yàp œir'lïjp-évois ocrlpoLKOiS, ïlori oûv 5 (7vp.(pép£i Toh ’^^vypo'vépois ovprjTixo7$ ypria-Oou, xctOdcTrep (ts- ! Xi'vœ, :coà aixvco, xoà volkIvOov (77rép{xotTi, xoù tÔ) àG'Tzctpdyœ, xa) T<p Tov Xevxoiov, xai xpôxov icCiç pi\cas y xoù icovias toTs Ç>vX- 124 Xotfy épLeiv Ts dno Ssi'ttvqv (Tvvsyfis, xcà p.r)Skv 'ssvpwSss 'crpoo’lcpe- ! psdOat, O fxéXXsi Triv xvc/liv B-sppLaivsiv Si'anav Sè t^v àXXrjv àiro- 10 ' 8 vcüTspoLv é^evpi'crxsiv. — Ônov Sè to y^jvypov xpars't, ovpVTixo7$ (lèv ^ to7s S-eppoTépois yprJadoLiy ÔTTOÎ’a êaliv rj 7S Ipts, xoà to aWiomxov sont les preuves qu’une vessie froide engendre la pierre; il est vraisem- blable aussi que, par suite d’une certaine chaleur, il se forme dans la vessie un dépôt qui se dessèche, ainsi que cela s’observe, à l’extérieur, pour la lie de vin ou pour d’autres limons; toutefois, je ne puis don- ner d’autres signes de cette maladie que la couleur des concrétions; 7 elles ressemblent, en effet, à des vases de terre cuite. On peut donc employer, dans certains cas, les diurétiques froids, par exemple le cé- leri, les concombres, la semence de jacinthe, l’asperge, la semence de giroflée, la racine de safran, les feuilles de violette; on vomira fré- quemment après les repas; on ne mangera rien d’écbauffant qui puisse enflammer la vessie ; du reste, le médecin cherchera un régime peu 8 fatigant. — Quand c’est le froid qui l’emporte, on doit recourir aux diurétiques chauds, tels que l’iris, le cumin d’Ethiopie, le fruit du 1-2. TO avro èaliv einos « Quatuor hæc «vocabula partim ex conjectura dedi» Ma ; mais A porte Toiaura et non to avTO, et il n’y a que l’i de ToiavTa qui soit un peu effacé; ravra êcrliv einos BLMO PV.— 2. fiév Ala; prfv A et cet. codd. — Ib. S-epfjtoTÉpoo O. — 3. [<5é] ex em. ; om. codd. Ma. •— 5. co'a'lïj(ievois Ma sans avert.; ônlinyL. A et cet. codd. — 7. ùolk'ivBcù b. — Ib. àa'napâyov B LP. — 8. XevKoiov (TTrsppaTi conj. Ma. — Ib. raïs pilous ex em. ; Tfjs pi^vs codd. et Ma; T^ pi^ri conj. E. — 10. o péXXsi E ex em.; & péXXsi codd.; o péXXoi, ou œ péXXotsv conj. Ma. — 11. Dans A Ottoo Sè TO yj/v^pov xpare7 vient immédiate- ment après è^evphKstv, avant les mots OvpvTtnà B-eppâ v(p’ (eÇ»’ conj.Ma) mv Stà \pv$iv 'zsvyvvTou ô Xidos, qui étaient prim. un titre marginal, lequel, déplacé dans A (mais non dans les copies), coupe par conséquent en deux la phrase Onov Sè to ■^vy^pov Kpoireï, ovpmtnolç ^ ainsi que Ma l’a aussi remarqué. Voy. p. 44, ch. 10.](https://iiif.wellcomecollection.org/image/b21948902_0121.jp2/full/800%2C/0/default.jpg)