La glande thyroide et les goitres : anatomie normale et pathologique bactériologie / par Arthur Riviere.

Date:
1893
    et follicules glandulaires ainsi que d'une circulation lacunaire qui font de ces goitres de véritables corps thy- roïdes embryonnaires, b) Le type adulée caractérisé par la production de matière colloïde en excès et le type radiaire sans anas- tomoses de la circulation. Enfin, il résulte de nos expériences personnelles que les goitres présentent souvent dans leur tissu des microbes atténués (staphylocoques principalement), que nous avons cultivés sur différents milieux, mais avee lesquels nous n'avons pu reproduire aucune lésion. On peut donner hypothétiquement un rôle pathogène à ces micro- organismes soit dans la production du goitre lui-même, soit dans son développement secondaire. Pour nous, nous admettrions volontiers que ces microbes sont la cause de ces augmentations de volume plus ou moins rapides que l'on voit survenir dans les tumeurs thyroïdiennes, à la suite d'infections quelconques.
    FIg. 1 Ensemble des lymphatiques d'une portion du parenchyme du corps thyroïde du chien, fixés, développés et imprégnés. /, /. — Lymphatiques interceptant im réseau de canaux irréguliers, mais non des sinus continus autour des grains glandulaires g dont ils oc- cupent les intervalles. /' /'. — Elargissement de ces lymphatiques en pseudo-sinus, II Les grains glandulaires du corps thyroïde du chien et les voies lympha- tiques ont été simultanément fixés et imprégnés, eg. — Epithélium glandulaire imprégné d'argent, /. /'. — Trajets et confluents lymphatiques interlobulaires. te. — Tissu oonjonctif interlobulairo. /. — Lymphatique occupant l'intérieur d'une des cloisons de tissu con- nectif séparant les grains de la thyroïde et séparé par une épaisseur no- table de tissu connectif de la vitrée ou membrane propre des grains, V T, gonflée et développée par l'acide formique. v' t. —Cette membrane propre apparaît distincte du tissu conjonctifet plissée comme une étoffe. V s. — Vaisseaux sanguins. La figure démontre que, contrairement à l'opinion de Boëchat, l'épithé- lium glandulaire ne repose pas sur de larges surfaces lymphatiques, de distance en distance. Il est au contraire constamment séparé des lympha- tiques par la membrane propre et le tissu conjonctif.
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